Chères adhérentes, chers adhérents, cher(e)s collègues,

Kitty O’MEARA, enseignante à la retraite, habite dans le Wisconsin (États-Unis), inquiète a écrit… et donné naissance à ce superbe poème (traduction ci-dessous) : 

«Et les gens restèrent à la maison.

Ils lurent des livres, écoutèrent, se reposèrent,firent
de l
exercice, firent de lart, jouèrent à des jeux et apprirent de nouvelles façons d’être.

Et ils écoutèrent davantage.

Certains méditaient, d’autres priaient, d’autres encore dansaient.

D’autres rencontrèrent leurs ombres.

Et les gens se mirent à penser différemment.

Et le peuple guérit.

Et, en l’absence de personnes vivant de manière ignorante, dangereuse, insensée et sans cœur, la Terre commença
à guérir elle aussi.

Et quand le danger fut passé, et que les gens se rassemblèrent à nouveau, ils pleurèrent leurs morts, firent de nouveaux choix, rêvèrent à de projets nouveaux et créèrent de nouvelles façons de vivre et de guérir la Terre pleinement, comme ils furent guéris.

 

Chacun vit le confinement à sa façon, selon ses contraintes, son caractère et sa situation, mais des études montrent qu’il n’est pas sans conséquences.

« Mais, pour l’après, il y a peut-être des rêves à partager… »

 Le secrétaire général, Laurent DUTILLEUL

Lire la lettre de mai 2020