Chères adhérentes, chers adhérents, cher(e)s collègues,

On a beaucoup entendu dire que le monde d’après ne devait pas ressembler au monde d’avant.

Quelques observations, désabusées, livrées pêle-mêle :

  • Il semblerait que dès que l’état d’urgence sanitaire s’arrête (la date qui circule serait le 10.07.2020), le jour de carence réapparaisse. Autre exemple, un projet de décret récemment communiqué diminue le nombre de jours d’autorisation d’absence pour enfants malades. Hum …Ne doutons pas que quoiqu’il ait été dit nous allons voir revenir aussi la réforme des retraites…
  • 1) Combien étions-nous à applaudir nos chers soignants le soir à 20h00 pendant 2 mois ?
  • 2) Combien sommes-nous à avoir signé la pétition UNSA pour les soutenir lors du Ségur de la santé ouvert le 28.05.2020 ?

Les réponses : 1) beaucoup ; 2) trop peu, si peu… Pourtant tout est en train de se jouer actuellement pour leurs conditions de travail, leurs carrières et leurs rémunérations. Et s’agissant du 1er sujet traité, très égoïstement, rappelons-nous combien nous souhaitons une bonne prise en charge à l’hôpital pour nous et nos proches. Et bien même là, l’être humain d’avant est revenu… Si vous êtes l’être humain d’après et que vous n’aviez pas vu notre appel, il n’est pas trop tard : https://www.unsa-defense.org/ ou bien https://www.unsa.org/  Merci pour l’hôpital et son personnel.

Alors que beaucoup appelle à plus de démocratie, nous sommes loin des 500000 signatures permettant de saisir le CESE, un lieu de démocratie directe dont nous vous parlerons dans la lettre de ce mois !

Même la canicule revient… Cette année, les vacances seront hexagonales. Aussi avons-nous recherché pour vous des lieux de villégiature qui pourraient laisser penser que vous avez pris l’avion ! Bonnes vacances à tous car quoiqu’en pensent certains, elles sont bien méritées. Ces 6 premiers mois 2020 ont été éprouvants.

L’UNSA Défense vous souhaite un très bel été mais… Restez prudent Sars Cov 2 est toujours là, tapi dans les détails !

Le secrétaire général, Laurent DUTILLEUL

Lire la lettre de juillet-août 2020