"Selon que vous serez puissant ou misérable… » disait Jean de la Fontaine dans « Les animaux malades de la peste ». Cette sentence est en fait adaptable à bien des situations, vous allez pouvoir le découvrir ou le re savoir. Bien sûr c’est en quelque sorte une porte ouverte, un angélisme diront les plus douteux, que de rappeler que les inégalités restent prégnantes et que selon nos origines, notre couleur, nos différences, selon ce que notre existence aussi apporte ou pas à la richesse mondiale… le sort qui nous est réservé ne sera pas le même partout sur la planète. On nous estime en raison de notre utilité sans tenir compte de notre valeur, c’est là le problème.
Il suffirait pourtant de définir une valeur universelle des êtres humains pour régler une bonne partie des injustices… hélas nous n’en sommes pas là. Mais on a le droit d’en rêver non ?
Evidemment, c’est l’horrible actualité qui nous renvoie en pleine figure la violence de ces inégalités. En quoi la vie d’un enfant juif, musulman, hindou, catholique… ou rien du tout même… juste un enfant…. serait-elle différente ? Il en reste encore « des Bastilles à tomber » pour les hommes de bonne volonté et nous sommes de ceux-là à l’UNSA.
L’UNSA vous invite à parcourir les pages du Fil d’Ariane 195 (petite erreur de numérotation… le 194 sera le mois prochain)… et vous remercie chacune et chacun de votre accueil toujours authentique et chaleureux à cette petite mais fidèle publication… Sachez que sans vous, le Fil n’existerait pas, ce qui fait de vous, vous l’aurez compris, des lectrices et des lecteurs qui n’ont pas de prix ;-))
Bonne lecture.
Amitiés
Le bureau UNSA-AIA
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