Il fallait s’y attendre en fait. Il y a un mois, vous étiez questionnés sur votre capacité à sauver les cons… ce mois-ci sur votre envie de les sauver.

Après l’épisode 1, voici l’épisode 2 de cette série… qui pourrait durer durer durer… De toutes les époques, les plus extraordinaires tentatives ont été conduites pour comprendre et explorer les différentes modalités de ce que signifie le mot ‘‘comprendre’’. Mais souvent l’existence de la connerie a été entièrement négligée. Aussi, l’intelligence des choses, des hommes et la connerie sont souvent, pour ne pas dire toujours, en proportion inverse. Pourrait-on dire que l’on ne commence à comprendre que dans la mesure où l’on cesse d’être con ? Sans doute.

A vous de trouver les réponses… pour cela, le Fil d’Ariane, fidèle à sa réputation, non pas d’apporter de réponse définitive, mais un éclairage permettant de poser les premières pierres d’une réflexion, je vous le concède, un peu inutile ce mois-ci… mais si on ne parlait pas de cette face cachée de l’humanité, la connerie, nous serions d’une grande partialité, loin des standards de l’UNSA.

Alors c’est avec un plaisir non dissimulé que l’UNSA vous offre ce nouveau Fil d’Ariane, dossard 174, dans lequel vous retrouverez, en plus de cette humeur curieuse du mois, votre actualité habituelle, avec une fin d’année chargée, puisque consacrée au budget Défense pour 2022, 4ème annuité de la LPM 2019-2025. L’actualité des CAPSO ouvriers, la réponse du 1er ministre au référé assassin de la cour des comptes sur les ICT-TCT et Ouvriers, ce qu’ont dit vos responsables UNSA aux députés de la Commission Défense, ainsi que l’actualité de la Fonction Publique.

Pour tout ce dont il est le nom… l’UNSA n’oublie pas et n’oubliera jamais Samuel Paty, dont nous commémorions ce mois-ci, son lâche assassinat il y a un an.

Bonne lecture à toutes et à tous.

« Marcher, c’est aller au cœur de soi-même. Et le cœur de soi-même est toujours un peu plus loin » Alain Cadéo

Bonne lecture. Amicalement

L’équipe UNSA    

Lire le fil d'Ariane 174 : doit-on sauver les cons